Chine en Question

Blog dédié au Monde asiatique

Archives de Catégorie: Cinéma (commentaires)

Commentaires 0-1 Cinéma Japon 1897-1912


Cycle Cinéma Japon 1897-1912

 

Les moins bons films visionnés (0/3 ou 1/3)… susceptibles de plaire à d’autres :
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  • Momijigari (1899) – Promenade sous les feuillages d’érable

    Ce très cout métrage a une valeur historique car c’est le plus ancien film japonais dont il existe encore une copie.
    Sens Critique

  • Chushingura (1910-1915)

    Cette compilation des premières versions cinématographiques de Chushingura a surtout une valeur historique car elle donne un aperçu du travail du réalisateur MAKINO Shōzō, l’un des pionniers du cinéma japonais. Le contenu reste néanmoins hermétique pour ceux qui ne connaissent pas les codes du kabuki.
    Sens Critique

08/04/2024
Serge LEFORT
Citoyen du Monde et rédacteur de Chine en Question

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Commentaires 0-1 Cinéma Corée Sud 2020-20XX


Cycle Cinéma Corée Sud 2020-20XX

 

Les moins bons films visionnés (0/3 ou 1/3)… susceptibles de plaire à d’autres :
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  • Heojil kyolshim (2022) – Decision to Leave

    Le thème de cette romance n’est pas nouveau. Je me souviens notamment du film allemand Asphalt (1929).
    J’abandonne après la scène de baise mécanique [11’28]. L’avance rapide révèle les mêmes défauts.
    Les commentaires de Philippe Rouyer – le comble de la masturbation intellectuelle – m’ont beaucoup fait rire. Il parle du film bien sûr, mais il étale surtout sa connaissance de “secrets” de tournage et d’anecdotes people… inutiles. Son admiration débordante pour l’usage des smartphones est significative du niveau de son analyse du film [29’45].
    Sens Critique
    Georges POLTI, Les 36 situations dramatiques, 1895 réédition 1912 [Partage en ligne].
    Marie-France BRISELANCE, Leçons de scénario – Les 36 situations dramatiques, 2006 [Partage en ligne].

11/03/2024
Serge LEFORT
Citoyen du Monde et rédacteur de Chine en Question

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Commentaires 2-3 Cinéma Corée Sud 2002-2019


Cycle Cinéma Corée Sud 2002-2019

 

Les meilleurs films visionnés (2/3 ou 3/3)… susceptibles de déplaire à d’autres :
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  • Chihwaseon (2002) – Ivre de femmes et de peinture

    Cette très belle biographie est d’autant plus étonnante qu’elle contraste avec beaucoup de productions insipides de l’époque. La mise en scène de Im Kwon-taek et le jeu de Choi Min-sik traduisent merveilleusement le génie de ce peintre hors norme, qui savait aussi jouer de la flûte. L’alcool plus que les courtisanes (kisaeng) nourrissait son art.
    Sancho does AsiaSens Critique
    JANG Seung-eop dit OWON (1843-1897), Œuvres, WikiArt.

  • Gyeolhoneun michinjishida (2002) – Marriage Is a Crazy Thing

    L’amour ne survit pas – ou rarement – à la vie quotidienne.
    Sens Critique

  • Jibeuro (2002) – Jiburo

    La présence de Eul-boon Kim, dans le rôle de la grand-mère, illumine tout le film. Inutile d’en dire plus…
    Sens Critique

  • Oasiseu (2002) – Oasis

    Une critique de la famille qui, sous des paillettes roses, cachent des cadavres.
    Sens Critique

  • Akasia (2003) – Acacia

    Drame de la jalousie infantile – de l’aîné vis-à-vis cadet – dont la possession de la mère est l’enjeu.
    Un garçon étrange qui dessine un tableau de Munch et se préoccupe des arbres, d’un acacia en particulier.
    Il fugue et l’acacia reverdit, mais le couple se disloque et sombre dans la folie alors que surviennent, petit à petit (très lentement), des phénomènes étranges.
    Sens Critique

  • Baramnan gajok (2003) – Une femme coréenne

    Une vision réaliste de la vie quotidienne du couple : une fois mariés, homme et femme ne baisent pas ou peu avec leur conjoint.
    Sens Critique

  • Songhwan (2003) – Rapatriement

    Ce documentaire, co-produit par la Corée du Nord et du Sud, porte un coup au mythe de la démocratie en Corée du Sud. Le plus étonnant est la force vitale de ces nord-coréens qui ont passé de 30 à 40 ans en prison où ils furent torturés jusqu’à ce qu’ils abandonnent leurs idées communistes. Sur 500 prisonniers en 1972, 102 furent libérés en 1999 comme “non convertis”.
    Le documentaire ne s’intéressent pas seulement aux résistants (20%), mais aussi aux “convertis” (plus de 70% – moins de 10% étant morts) et aux relations entre les uns et les autres.
    Ce documentaire privilégie l’humain, sans le sensationnalisme occidentale, et les paradoxes de la situation. Les prisonniers communistes furent, par exemple, libérés grâce à l’action de groupes catholiques. Des partisans communistes, nés au Sud, acceptèrent difficilement d’être “rapatriés” au Nord. Des familles restèrent divisées car des membres du Sud n’acceptèrent toujours pas ceux du Nord.
    Sens Critique

  • Nae meorisokui jiwoogae (2004) – A Moment to Remember

    Au risque de surprendre, j’ai apprécié cette romance qui vire au drame car la jeune femme atteinte de la maladie d’Alzheimer.
    Sens Critique

  • Cheong yeon (2005) – Blue Swallow

    Cette biographie vaut le détour malgré ses défauts hollywoodiens. On découvre une femme qui, pour réaliser ses ambitions personnelles, a collaboré avec l’armée japonaise qui occupait la Corée.
    Sens Critique

  • Sarangni (2005) – Blossom Again

    Malgré des ratés de la mise mise en scène (la lévitation [1h23]), on est sous le charme de KIM Jeong-eun qui illumine cette romance.

    Sens Critique

  • Deiji (2006) – Daisy

    Une superbe romance dans laquelle s’inscrit une histoire policière et non l’inverse.
    Sens Critique

  • Gaeulro (2006) – Traces of Love

    Cette sympathique romance vaut le détour car elle est construite sur les souvenirs d’un amour perdu.
    Sens Critique

  • Samgeori geukjang (2006) – Midnight Ballad for Ghost Theater

    Belles images. Belle musique… occidentale. Une comédie musicale, réussie, sur le théâtre, le cinéma, la vie…
    « Minosu, l’homme à la tête de taureau, premier film d’horreur coréen et chef-d’œuvre de WOO Gi-nam qui captivera l’ennuyeux XXIe siècle. » Le film d’horreur comme remède à la crise du cinéma ? Non car ce remède le tue.
    Sens Critique

  • Gungnyeo (2007) – Shadows in the Palac

    Chine en Question
    Sens Critique

  • Hyazgar (2007) – Desert Dream

    J’avoue avoir beaucoup de mal d’accepter l’invraisemblable arrivée d’une réfugiée nord-coréenne et son fils dans ce coin perdu de Mongolie et son départ vers une destination inconnue à la fin. Entre les deux, le réalisateur nous balade lentement dans une description de la vie quotidienne non travestie à la sauce hollywoodienne.
    La scène du viol est efficace car elle est d’abord suggérée par le son alors que l’image reste figée sur la table vide puis un travelling latéral dévoile les corps [CD2 42’32]. Une autre scène, avec les mêmes protagonistes, n’évoque plus du tout un viol et du coup remet en cause notre interprétation de la scène précédente [CD2 52’21]. J’ai revu plusieurs fois le première séquence sans le son pour me concentrer sur l’image. Le mouvement des jambes de la femme passe bien du refus à l’acceptation comme le confirme la deuxième séquence.
    Chinese MoviesSens Critique

  • Milyang (2007) – Secret Sunshine

    Shin-ae sombre dans un délire religieux dont elle sort quand l’assassin de son fils lui dit en souriant qu’il s’est converti lui aussi au christianisme et qu’il a été pardonné par Dieu.
    Sens Critique

  • Himalayaeui sonyowa (2008) – Destination Himalaya

    Du pur cinéma : des images sans discours et sans intrigue.
    Sens Critique

  • Keu Namjaui Chaek 198Jjeuk (2008) – Heartbreak Library

    Un homme doit renoncer aux souvenirs du passé (avec une femme) pour vivre (en aimer une autre).
    Sens Critique

  • Mi-in-do (2008) – Portrait of a Beauty

    Le synopsis paraît simple et convenu, mais se complique petit à petit.
    Mise en scène assez classique.
    Image sublime, surtout des paysages de Corée.
    Son/Musique mélange coréenne et occidentale. La musique coréenne est présente dans les scènes de peinture et de bordel.
    Interprétation très forte de l’actrice principale (Dae-Sung Choi).
    Sens Critique

  • Wonseueopon Eotaim (2008) – Once Upon A Time

    Dans l’esprit de Romancing the Stone – À la poursuite du diamant vert, mais en beaucoup mieux car il tourne en dérision la résistance contre l’occupation japonaise… remplacée en 1945 par celle des troupes américaines.
    Sens Critique

  • Ho woo shi jul (2009) – A Good Rain Knows

    Cette sympathique romance entre un coréen et une chinoise vaut le détour. Elle rend hommage au poète chinois DU Fu de l’époque Tang (712-770), à la cuisine chinoise et aux victimes du tremblement de terre du Sichuan en 2008.
    Dommage que la musique extradiégétique soit parfois du niveau de celle mon supermarché.
    Sens Critique
    Tremblement de terre du Sichuan, Mission de la République Populaire de Chine auprès de l’Union Européenne.
    AUTEURS Divers, Classiques de la poésie chinoise, [Partage en ligne].

  • Ajeossi (2010) – The Man From Nowhere

    Chine en Question
    Sens Critique

  • Akmareul boatda (2010) – J’ai rencontré le diable

    Qui est le plus violent, le serial killer ou l’agent secret ?
    Sens Critique

  • Bang-ja Jeon (2010) – The Servant

    La mise en scène de KIM Dae-woo et la photographie de KIM Yeong-min poétisent ce film qui, grâce à l’humour, évite d’être prétentieux. Cette simplicité apparente cache une construction aussi intelligente que Les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos.
    Sens CritiqueScreenshots

  • Doenjang (2010) – La recette

    Un scénario très intéressant et hors du commun qui mélange thriller, romance et fantastique.
    Sens Critique

  • Man chu (2010) – Late Autumn

    Un amour se tisse lentement et meurt en 72 heures.
    Sens Critique

  • Shi (2010) – Poetry

    Un excellent scénario, remarquablement mise en scène par LEE Chang-Dong et interprété par YOON Jung-hee. Ni de longs discours ni d’images explicites de l’essentiel. Du pur cinéma !
    Sens Critique

  • Hyultu (2011) – The Showdown

    Les guerres sont politiques : « ils sont morts comme des chiens pour rien ».
    Sens Critique

  • Poo-reun so-geum (2011) – Hindsight

    Dès la première image on connaît la fin du film. Ce qui est exceptionnel pour un thriller, mais, comme dans les romans de Simenon, le suspense est ailleurs…
    Sens Critique

  • Tong-jeung (2011) – Pain

    Une très belle romance, interprétée par deux superbes acteurs, dans un Séoul où règne la violence sociale.
    Révolution des corps mus par le désir – mouvement de caméra verticale de 360º.
    Sens Critique

  • 5 Baekmanboolui Sanayi (2012) – A Millionaire on the Run

    Une comédie sur la corruption et les gangs où la police est ridiculisée.
    Sens Critique

  • Hoa-cha (2012) – Helples

    Un superbe thriller romantique.
    Sens Critique

  • Wi-heom-han gyan-gye (2012) – Les liaisons dangereuses

    Cette adaptation, transposée dans Shanghai des années 1930 pendant l’occupation japonaise, est brillante car, sans respecter à la lettre les échanges épistolaires (des appels téléphoniques font aussi l’affaire), elle traduit parfaitement l’esprit de l’intrigue. Zhang Ziyi est sublime dans le rôle de Du Fenyu (Mme de Tourvel).
    Sens Critique
    Choderlos de LACLOS, Les liaisons dangereuses, 1782 [Partage en ligne].

  • Bereurlin (2013) – The Berlin File

    Ce film marque un tournant car, sorti en même temps en Corée et aux État-Unis, il applique les recettes hollywoodiennes… en beaucoup mieux. Les scènes d’action, particulièrement réussies, reposent sur une vraie intrigue : le couple tente d’échapper à tous leurs poursuivants.
    Le film est est d’autant plus réussi qu’il ne tombe pas dans le travers du classique happy end. Rien à voir non plus avec le vulgaire New World dont les dialogues sont truffés de fuck et ses multiples variantes – dommage car le scénario est intéressant et la chute surprenante.
    Sens Critique

  • Deo Tereo Raibeu (2013) – The Terror Live

    Thriller sur les médias qui font de l’audimat sur le dos d’otages menacés par un ouvrier (appelé terroriste) qui demande des excuses du Président pour la mort de trois ouvriers lors de la construction d’un pont. Le journaliste, qui voulait un scoop, est dépassé par les manipulations du directeur de la chaîne et celles des autorités (police te gouvernement). Il achève le travail du terroriste en faisant sauter l’immeuble.
    Sens Critique

  • Deo Web-toon: Ye-go Sal-in (2013) – Killer Toon

    Chine en Question
    Sens Critique

  • Dongchangsaeng (2013) – Commitment

    Thriller romantique à la sauce coréenne – Sud (les bons) contre Nord (les méchants).
    Sens Critique

  • Jibeuro Ganeun Gil (2013) – Way Back Home

    Bien qu’il s’agisse d’une histoire vraie, la mise en scène et le jeu des acteurs la rendent invraisemblable. Le happy end trop hollywoodien n’arrange rien. Ceci dit, le film mérite un détour pour deux raisons :
    – Il en dit long et de manière réaliste sur la violence des prisons françaises, celle de la gardienne-chef (Corinne Masiero) et celle des co-détenues dans le centre pénitentiaire de Ducos en Martinique.
    – Il accuse aussi d’incompétence l’ambassade coréenne en France, mais de manière caricaturale.
    Joanna Kulig joue le rôle d’une sympathique détenue qui aide Song Jeong-yeon.
    Sens Critique
    Centre pénitentiaire de Ducos , Dalloz Actualité.
    CEDH : la France condamnée pour ses prisons indignes, Dalloz Actualité, 31/01/2020.

  • Banghwanghaneun Kalnal (2014) – Broken

    Ce thème est d’autant plus intéressant qu’il n’a pas de fin puisque le problème demeure : vengeance contre justice.
    Sens Critique

  • Minwoossi Oneun Nal (2014) – Awaiting

    Très beau film sur la mémoire brisée par une trop longue absence.
    Sens Critique

  • Myeongryang – Huiori Bada (2014) – The Admiral Roaring Currents

    L’interprétation du héros est intéressante car, contrairement à l’habitude, il ne fait pas de longs discours pour expliquer ses actes. Il agit un point c’est tout.
    Sens Critique

  • Soosanghan Geunyeo (2014) – Miss Granny

    La photographie n’est pas le sujet principal du film, mais le prétexte original de l’histoire, traitée sur le mode de la comédie, d’une femme qui réalise ses rêves alors qu’elle s’est sacrifiée pour son fils.
    Sens Critique

  • Agassi (2016) – Mademoiselle

    Adaptation du roman Fingersmith – Du bout des doigts transposée en Corée pendant l’occupation japonaise. La mise en scène, la structure narrative et le jeu des acteurs sont intéressants. La manipulation des deux femmes est plus réussie que leurs ébats.
    Sens Critique
    Sarah WATERS, Du bout des doigts, 2002 [Partage en ligne].

  • Namhansanseong (2017) – The Fortress

    Ce film est une surprise car, bien que coréen, il montre que le roi Injo de Joseon et de sa cour, enfermés dans leur esprit de caste, furent responsables en 1637 de la défaite militaire face aux Mandchous qui occupaient la Chine du Nord depuis 1626 et prendront le pouvoir sur toute la Chine en 1644 sous le nom de Qing.
    Deux phrases résument cela :
    – un officier, d’origine coréenne mais servant dans l’armée du Khan : À Joseon, les cerfs sont traités comme des sous-hommes. [57’28] ;
    – un forgeron, envoyé comme messager de la dernière chance : Si je réussis, ce ne sera pas pour le roi. Cela m’est égal que le roi soit du côté des Qing (Mandchous) ou des Ming (Hans). Tout ce dont je rêve, c’est d’un monde où nous pourrons semer au printemps, récolter à l’automne et manger tout l’hiver. [1h26]
    La fiction se mêle sans problème à l’Histoire qu’elle respecte sur le fond, mais l’absence de femmes pose question.
    Contrairement aux récits simplifiés et falsifiés :
    – Le roi Injo de Joseon était allié avec les empereurs Tianqi et Chongzhen de la dynastie des Ming contre les envahisseurs Mandchous.
    – La Chine n’est pas passée brusquement de l’Empire des Ming (gouverné par les Hans de 1368 à 1644) à celui des Qing (dominé par les Mandchous de 1644 à 1912). Pendant une période intermédiaire, la Chine du Nord fut occupée par l’empereur mandchou Huang Taiji (1626-1643) et la Chine du Sud administrée successivement par les empereurs Tianqi (1625-1627) et Chongzhen (1627-1643) de la dynastie des Ming.
    Sens Critique

05/02/2024
Serge LEFORT
Citoyen du Monde et rédacteur de Chine en Question

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Commentaires 0-1 Cinéma Corée Sud 2002-2019


Cycle Cinéma Corée Sud 2002-2019

 

Les moins bons films visionnés (0/3 ou 1/3)… susceptibles de plaire à d’autres :
Liens de tous les films, Monde en Question

  • 2424 (2002)

    Les acteurs surjouent cette grossière comédie policière.
    Sens Critique

  • Boksuneun Naui Geot (2002) – Sympathy for Mr Vengeance

    La photographie de Byeong-il Kim est intéressante, mais le jeu de Shin Ha-kyun n’est pas convaincant d’autant qu’il parait un clown avec ses cheveux teints en vert et son regard hébété.
    La scène de masturbation collective vient sans aucun contexte [10’03]. Le scénario s’égare complètement au bout de quarante-cinq minutes avec l’apparition d’un handicapé. La scène de baise est bien racoleuse car elle vient pour maintenir l’attention [1h11]. La suite s’enlise dans le n’importe quoi avec le réapparition de l’handicapé.
    Sens Critique

  • Bus, Jeong Ryujang (2002) – Bus Stop

    Tout est mauvais, le scénario, la mise en scène et le jeu des acteurs.
    Sens Critique

  • Chaempieon (2002) – Champion

    Ce film intéressera peut-être les passionnés de boxe, mais pas les autres.
    Sens Critique

  • Dodookmatgo motsala (2002) – Can’t Live Without Robbery

    Sans intérêt.

  • Dong seung (2002) – A Little Monk

    Désolé, mais la religion, quelle qu’elle soit, n’est pas mon truc.
    Sens Critique

  • Gamunui Youngkwang (2002) – Marrying The Mafia

    La mise en scène et le jeu des acteurs sont aussi inconsistants que le scénario.
    Sens Critique

  • Gonggongui jeog (2002) – Public Enemy

    La scène de masturbation sous la douche est un classique du genre [08’56]. Le reste est un “putain” de film sur la police coréenne.
    Sens Critique

  • Gudseura Geum-suna (2002) – Saving My Hubby

    Le jeu hystérique des acteurs plombe très rapidement ce film [02’35].
    Sens Critique

  • Gyeoul yeonga (2002) – Winter Sonata (20 épisodes)

    L’affiche d’IMDb annonce une romance hollywoodienne. Il s’agit bien d’une série coréenne car les acteurs surjouent et la musique extradiégétique est nulle.
    Sens Critique

  • H (2002)

    Le jeu de Jung-ah Yum ne sauve pas cette histoire d’hypnose à distance trop tirée par les cheveux.

  • Hae anseon (2002) – The Coast Guard

    Ce soldat, un peu plus con que les autres, peut tirer sur tout ce qui bouge car il est couvert par le climat de paranoïa. Á tort ou à raison, j’au vu ce film comme un éloge de la violence.
    Sens Critique

  • Hae-jeok, discowang doeda (2002) – Hae-jeok, Disco King

    J’ai abandonné ce film rapidement car la mise en scène et le jeu des acteurs sont inconsistants.

  • Hayanbang (2002) – Unborn but Forgotten

    Les scènes avant et pendant le générique ne m’incitent pas à aller plus loin [02’58].
    Sens Critique

  • Huayu (2002) – Who Are You?

    Cette romance est d’emblée insistante. Bon courage si vous persévérez !
    Sens Critique

  • Ildan Dwieo (2002) – Once Run

    Il s’agit encore d’une comédie coréenne débile (pléonasme ?).
    Sens Critique

  • Iron Palm (2002)

    J’abandonne cette comédie après la scène de la cuisson du riz car le jeu de In-pyo Cha est trop grossier [11’45].
    Sens Critique

  • Jikeumeun Yeonaejung (2002) – We Are Dating Now (16 épisodes)

    Le générique annonce une série romantique sans intérêt.

  • Jil-too-neun na-euh heem (2002)

    Ni la mise en scène ni le jeu des acteurs suscitent peu d’intérêt pour ce film, qui fut pourtant primé.

  • Joheun saram isseumyeon sogae shikeojwo (2002) – Romantic Comedy

    Sans aucun intérêt.
    Sens Critique

  • Jungdok (2002) – Addicted

    J’abandonne après la scène romantique sous la pluie qui annonce un film bien mièvre [06’27].
    Sens Critique

  • Lightereul Kyeora (2002) – Break Out

    L’affiche annonce une daube à la sauce coréenne.
    Sens Critique

  • Seopeuraijeu (2002) – Surprise Party

    Encore une romance coréenne débile !
    Sens Critique

  • Yeonae soseol (2002) – Lover’s Concerto

    La musique extradiégétique de supermarché annonce un mauvais film. Le jeu débile de Tae-Hyun Cha confirme cette impression [05’26].
    Sens Critique

  • Madeleine (2003)

    Cette romance est rapidement débile [06’19].
    Sens Critique

  • Yeoleum Hyangki (2003) – Scent of Summer (20 épisodes)

    Tout est mauvais, le scénario, la mise en scène, le jeu des acteurs et, pire encore, la musique extradiégétique.

  • Eorin shinbu (2004) – My Little Bride

    Cette romance est d’emblée trop vulgaire pour susciter le moindre intérêt.
    Sens Critique

  • Majimak Chumeun Nawa Hamgge (2004) – Save the Last Dance With Me (20 épisodes)

    Cette série est nulle.
    Sens Critique

  • Ryeong (2004) – Dead Friend

    La mise en scène et le jeu des acteurs sont d’emblée ridicules [06’00].
    Sens Critique

  • Yeojaneun namjaui miraeda (2004) – La femme est l’avenir de l’homme

    J’abandonne cette histoire qui traîne en longueur dans des discussions sans fin [15’10].
    Sens Critique

  • Bomna (2005) – Spring Days (20 épisodes)

    Les acteurs surjouent. Sans intérêt.

  • Yeolyeodol Seumulmahop (2005) – 18 vs. 19 (16 épisodes)

    Une comédie surjouée. Sans intérêt.

  • Uriege Naeireun Eopda (2006) – Les garçons de demain

    Cette histoire d’un Coréen tant américanisé qu’il rêve d’avoir un revolver n’est intéressante. La scène du carnage plombe définitivement le film [1h15].
    Sens Critique

  • Jeonseol-ui gohyang (2007) – The Evil Twin

    Ce film est, conformément au genre, ridicule.
    Sens Critique

  • M (2007)

    Le jeu des acteurs est d’emblée ridicule. Ce qui ôte tout intérêt pour l’histoire.

  • Mawang (2007) – The Lucifer (20 épisodes)

    Cette série est inconsistante.
    Sens Critique

  • Dang-sin-i Jam-deun Sa-i-e (2008) – What Happened Last Night

    Comme dans beaucoup de films coréens, les acteurs surjouent. Ce qui ruine tout l’intérêt.

  • Heukshi Monyeo (2008) – Beyond All Magic

    La réalisation n’est pas à la hauteur du scénario qui se transforme en farce grotesque.

  • Romaentik Aillaendeu (2008) – Romantic Island

    Le jeu de l’acteur au cours de la première scène plombe d’emblée ce film.

  • Insadong seukaendeul (2009) – Insadong Scandal

    Tout est mauvais, le scénario, la mise en scène et le jeu des acteurs.
    Sens Critique

  • Tokkiwa rijeodeu (2009) – Rabbit and Lizard

    Le jeu de Jang Hyuk plombe d’emblée cette romance.
    Sens Critique

  • Joogigo Sipeun (2010) – Enemy at the Dead End

    J’abandonne ce film car la mise en scène et le jeu des acteurs sont inconsistants [09’16].

  • Ggang Chul Yi (2013) – Tough As Iron

    Trois films pour le prix d’un : l’amour filiale, les gangsters et la romance. Deux de trop…

Je n’ai pas chroniqué tous les mauvais films car j’en ai visionné beaucoup trop… jusqu’à l’écoeurement.

05/02/2024
Serge LEFORT
Citoyen du Monde et rédacteur de Chine en Question

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Commentaires 2-3 Cinéma Corée Sud 1993-2001


Cycle Cinéma Corée Sud 1993-2001

 

Les meilleurs films visionnés (2/3 ou 3/3)… susceptibles de déplaire à d’autres :
Liens de tous les films, Monde en Question

  • Seopyeonje (1993) – La chanteuse de pansori

    J’avoue ne rien connaître et avoir donc du mal à apprécier cet art coréen du récit chanté. Le film a contribué à la renaissance de cet art qui avait disparu pendant l’occupation japonaise (1905-1945) et la domination de la culture américaine (1945-2001). J’ai particulièrement aimé la scène dans la campagne qui résume tout [44’04-49’14].
    Sens Critique
    Les chants épiques Pansori, UNESCO.
    La nature générale du pansori, Poésie.
    KIM Shin-Dong, The Creation of Pansori Cinema Sopyonje and Chunhyangdyun in Creative Hybridity in YAU Shuk-ting Kinnia, East Asian Cinema and Cultural Heritage – From China, Hong Kong, Taiwan to Japan and South Korea, 2011 [Partage en ligne].
    Corridos Viejitos, Ramon Ayala, Cadetes, Cachorros, Los terribles del norte y muchos mas.
    Corridos de la Revolución mexicana, Los cadetes de Linares.

  • Palwolui Christmas (1997) – Christmas in August

    HUR Jin-Ho filme avec intelligence, mais sans prétention, le quotidien d’un photographe qui sait qu’il va mourir et s’attache à une jeune contractuelle. Les trente dernières minutes sont particulièrement intéressantes sur la manière de raconter une histoire avec des images (le propre du cinéma), qui laissent l’interprétation ouverte, et non par un discours (le propre du théâtre et du cinéma français).
    Sens Critique

  • Paran daemun (1998) – The Birdcage Inn

    J’ai voulu abandonné ce film après la rencontre artificielle des deux femmes [02’00] et la scène de baise [09’44]. Mais la photographie de Jeong-min Seo m’a incité à visionner cette histoire sur le thème de “la vierge et la putain” qui vaut le détour.
    La masturbation et la relation homosexuelle sont suggérées.
    Sens Critique

  • Nae maeumui punggeum (1999) – The Harmonium in My Memory

    Le plus intéressant n’est pas l’échec de la double romance, mais la vie quotidienne de l’école et du village.
    Sens Critique
    Hommage à Connie Francis et notamment Don’t Break The Heart That Loves You de l’album My greatest songs.

  • Chunhyang (2000) – Le chant de la fidèle Chunhyang

    Le chant de la fidèle Chunhyang constitue la synthèse de deux arts : celui du cinéma typiquement occidental et celui du Pansori, mode de narration orale et musicale, typiquement coréen.
    Sens Critique

  • Nado anaega isseosseumyeon johgessda (2001) – Si seulement j’avais une femme

    Une histoire simple racontée avec beaucoup de délicatesse et accompagnée par une superbe musique de jazz.
    Sens Critique

15/01/2024
Serge LEFORT
Citoyen du Monde et rédacteur de Chine en Question

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Dossier documentaire Cinéma Corée (avec liens partagés), Monde en Question.
Films, Ciné MondeChine en QuestionMonde en Question.
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Revue de presse, Monde en Question.

Commentaires 0-1 Cinéma Corée Sud 1993-2001


Cycle Cinéma Corée Sud 1993-2001

 

Les moins bons films visionnés (0/3 ou 1/3)… susceptibles de plaire à d’autres :
Liens de tous les films, Monde en Question

  • 301, 302 (1995)

    J’abandonne rapidement car la mise en scène et le jeu des acteurs son inconsistants [11’53].
    Sens Critique

  • Ag-o (1996) – Crocodile

    Les amateurs de films prétentieux apprécieront, mais pas moi. J’ai quand même déniché des sous-titres en français.
    Sens Critique

  • Daijiga umule pajinnal (1996) – Le jour où le cochon est tombé dans le puits

    Ces histoires d’adultère croisés sont laborieusement mises en scène.
    Sens Critique

  • Ggotip (1996) – A petal

    Dés le début je n’ai pas été convaincu et encore moins à la fin par le point de vue adopté. Il reste l’évocation du massacre de Gwangju commis par l’armée coréenne en mai 1980 avec les conseils des services américains.
    Sens Critique
    HAN Kang, Celui qui revient, 2016 [Partage en ligne].
    HWANG Kyung Moon, Contentious Kwangju – The May 18 Uprising in Korea’s Past and Present, 2003 [Partage en ligne].
    Lee Jae-Eui, SEOL Kap Su, MAMATAS Nick, Kwangju Diary – Beyond Death, Beyond the Darkness of the Age, 1999 [Partage en ligne].

  • Kangwon-do ui him (1996) – Le pouvoir de la province de Kangwon

    Je n’arrive pa à m’intéresser à cette histoire d’adolescentes [07’42].
    Sens Critique

  • Cheob-sok (1996) – The Contact

    La mise en scène et le jeu des acteurs sont aussi inconsistants que le scénario.
    Sens Critique

  • Chorok mulkogi (1997) – Green Fish

    Avis de Ciné Monde 12/10/2015 : Oppose la violence des luttes entre gangs à la douceur de la vie familiale (dernière scène).
    Avis de Chine en Question 12/07/2022 : J’abandonne après la scène de l’accident provoqué car tout me semble artificiel [41’35].
    Sens Critique

  • Yasaeng dongmul bohoguyeog (1997) – Wild animal

    Kim Ki-duk a réalisé ce film selon selon les normes de la mécanique française, c’est-à-dire terriblement ennuyeuses. J’ai tenu 7’30 avant d’abandonner ce pensum.
    Sens Critique

  • Choyonghan kajok (1998) – La famille tranquille

    La musique extradiégétique de supermarché du générique annonce un mauvais film. J’abandonne cette comédie trop nulle [08’50].
    Sens Critique

  • Haega seojjogeseo ddeundamyun (1998) – If the Sun Rose in the West

    Cette comédie romantique est totalement inconsistante.
    Sens Critique

  • Jaguimo (1998) – Ghost in Love

    Bof ! Il y a certainement des clients pour ce type de film, mais pas moi.
    Sens Critique

  • Misulgwan yup dongmulwon (1998) – Art Museum by the Zoo

    Encore une comédie romantique qui ne vaut rien.
    Sens Critique

  • Yeogo goedam (1998) – Whispering Corridors

    Comme dans la plupart des films d’horreur, le scénario est inconsistant, les images banales et la bande son exagérément dramatique.
    Sens Critique

  • Calla (1999) – Kara

    J’abandonne cette romance sans intérêt après la scène de la fleuriste accompagnée de la chanson française Je m’appelle Hélène [12’05].
    Sens Critique

  • Gojitmal (1999) – Fantasmes

    Avis de Ciné Monde 13/02/2019 : Une relation qui vire au sado-masochisme classique.
    Avis de Chine en Question 13/07/2022 : Le discours de présentation m’insupporte et la musique extradiégétique du générique encore plus. Je laisse donc tomber.
    Sens Critique

  • Haepi-endeu (1999) – Happy End

    La scène dans laquelle la femme répète plusieurs fois “baises-moi” (traduit par “fais-moi l’amour”) ne sauve pas ce film inconsistant.
    Sens Critique

  • Hwaiteu ballenta-in (1999) – White Valentine

    La musique extradiégétique de supermarché du générique n’annonce rien de bon. La mise en scène et le jeu des acteurs sont inconsistants.
    Sens Critique

  • Swiri (1999) – Shiri

    Ce film de propagande contre la Corée du Nord est d’emblée détestable.
    Sens Critique

  • Telmisseomding (1999) – La 6ème victime

    Ce thriller, sponsorisé par des institutions, ravira les fans des films d’horreur.
    Sens Critique

  • Yeogo goedam (1999) – Whispering Corridors

    Comme dans la plupart des films d’horreur, le scénario est inconsistant, les images banales et la bande sont exagérément dramatique.

  • Bakha satang (2000) – Peppermint Candy

    Cette étrange remontée dans le temps, trop larmoyante, n’explique rien…
    Sens Critique

  • Banchikwang (2000) – The Foul King

    La mise en scène et le jeu des acteurs sont aussi nuls que le scénario.
    Sens Critique

  • Bichunmoo (2000) – Bichunmoo, légende d’un guerrier

    Ce film n’échappe aux clichés du genre des arts martiaux. La mise en scène et le jeu des acteurs sont inconsistants.
    Sens Critique

  • Bimil (2000) – Secret Tears

    J’abandonne rapidement car tout est nul [06’28].
    Sens Critique

  • Cheongchuni (2000) – Plum Blossom

    Ce film ne trouve pas le ton qui convient entre romance et érotisme. La mise en scène et le jeu des acteurs sont inconsistants.

  • Daehakno-yeseo maechoon-hadaka tomaksalhae danghan yeogosaeng ajik Daehakno-ye Issda (2000) – Teenage Hooker Becomes a Killing Machine

    Une daube fabriquée selon les normes des films d’horreur.

  • Donggam (2000) – Ditto

    Le décalage temporel d’une romance est un thème récurrent du cinéma asiatique avec le magnifique Ugetsu monogatari de Mizoguchi Kenji. Cette version coréenne ne tient pas la route et je l’abandonne rapidement [10’27].
    Sens Critique

  • Flandersui gae (2000) – Bouvier des Flandres

    Le scénario me laisse indifférent et plus encore la mise en scène et le jeu des acteurs.
    Sens Critique

  • Gongdong gyeongbi guyeok JSA (2000) – JSA Joint Security Area

    Ce thriller se voit, mais sans plus.
    Sens Critique

  • Jakarta (2000)

    La mise en scène et le jeu des acteurs plombent rapidement ce thriller [11’28].
    Sens Critique

  • Libera me (2000)

    Je ne suis pas amateur des films catastrophes.
    Sens Critique

  • Mi in (2000) – La belle

    Elle dit : “Il n’y a rien d’intéressant” [17’04] et je confirme.
    Sens Critique

  • Oh! Soo-jung (2000) – La vierge mise à nu par ses prétendants

    Ce film bavard ne va nulle part.
    Sens Critique

  • Seom (2000) – L’īle

    Cette romance est terriblement ennuyeuse.
    Sens Critique

  • Siworae (2000) – Il Mare

    Ni la mise en scène ni le jeu des acteurs ne sont pas à la hauteur du scénario (une histoire entre passé et présent, entre morts et vivants.).
    Sens Critique

  • Sunaebo (2000) – Asako in Ruby Shoes

    Cette romance virtuelle est pire que nulle.

  • Areumdawoon naldeul (2001) – Beautiful Days (24 épisodes)

    Une daube fabriquée selon les normes de la mécanique coréenne des séries.
    Sens Critique

  • Beonjijeompeureul hada (2001) – Bungee Jumping of Their Own

    Une histoire qui tourne en rond, mal mise en scène et mal jouée.

  • Besame mucho (2001) – Kiss Me Much

    Cette comédie familiale est inconsistante.
    Sens Critique

  • Chingoo (2001) – Friend

    Ce film sur la mafia coréenne ne m’intéresse pas.
    Sens Critique

  • Failan (2001)

    J’abandonne cette daube fabriquée selon les normes de la mécanique coréenne [18’40].
    Le basculement de l’histoire, annoncé par un rapide retour au noir et blanc du générique, ne fonctionne pas [37’00]. Comme Choi Min-sik continue son numéro de petit truand, ses larmes, après la lecture de la lettre, sont plus ridicules que crédibles [1h41].
    Cette adaptation n’a rien a voir avec la nouvelle autrement plus sensible et poétique.
    Sens Critique
    ASADA Jirō, La lettre d’amour, 1998 [Partage en ligne].

  • Ggot seom (2001) – Flower Island

    J’abandonne après la scène glauque de la femme qui avorte dans les chiottes [08’03].
    Sens Critique

  • Go-yang-i-rul boo-tak-hae (2001) – Take Care of My Cat

    L’histoire est assez décousue et la mise en scène inconsistante.
    Sens Critique

  • Igeoshi beobida (2001) – This Is Law

    Ce film de violence gratuite est rapidement insupportable [07’45].
    Sens Critique

  • Killerdeului suda (2001) – Guns and Talks

    Ces tueurs bavards me déplaisent d’emblée.
    Sens Critique

  • Nabbeun namja (2001) – Bad Guy

    La musique extradiégétique de supermarché plombe d’emblée cette histoire qui ne tient pas la route une seconde.
    Sens Critique

  • Musa (2001) – La princesse du désert

    Ce film enchaîne les scènes de combat sans intrigue… jusqu’à l’écœurement. Tous les protagonistes meurent sauf le sergent et la princesse. ZHANG Ziyi fait de la figuration dans ce rôle.
    Sens Critique

  • Saulabi (2001)

    Ce film accumule tous les clichés des films d’arts martiaux.
    Sens Critique

  • Suchwiin bulmyeong (2001) – Adresse inconnue

    J’abandonne rapidement ce film qui se complaît dans la violence gratuite [08’35].
    Sens Critique

  • Wanee wa Junah (2001) – Wanee and Junah

    Le jeu de Ju Jin-Mo plombe d’emblée ce film inconsistant.
    Sens Critique

  • Yeopgijeogin geunyeo (2001) – My Sassy Girl

    J’abandonne très rapidement ce film car les acteurs surjouent et la mise en scène est inconsistante [06’45].
    Sens Critique

15/01/2024
Serge LEFORT
Citoyen du Monde et rédacteur de Chine en Question

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Commentaires 2-3 Cinéma Corée Sud 1961-1992


Cycle Cinéma Corée Sud 1961-1992

 

Les meilleurs films visionnés (2/3 ou 3/3)… susceptibles de déplaire à d’autres :
Liens de tous les films, Monde en Question

  • Sarangbang sonnimgwa eomeoni (1961)

    « La photographie de Choi Su-yeong fait le charme de cette sympathique comédie sentimentale dont l’issue est prévisible dès le début (avec les violons occidentaux de rigueur). Choi Eun-hie est parfaite dans le rôle de la jeune veuve… tenue en laisse par sa belle-mère, la religion chrétienne et la société.
    Sens Critique« 

  • Anaedeului haengjin (1974) – La marche des épouses

    Le jeu des acteurs est d’emblée ridicule. Je me demande comment une fille cultivée et au caractère trempé a pu épouser un bon à rien d’un village “encore sous-développé”. La réponse est dans la propagande féministe du film qui, malgré tout, vaut le détour. Il est en effet paradoxal que le film conspue les communistes et fasse la promotion du travail en communSi nous nous unissons, nous pouvons tout faire ! [55’20] et du partage égalitaire des bénéfices [1h01].
    Sens Critique

  • Sibaji (1987) – La mère porteuse

    Excellente démonstration du contrôle social des individus aussi bien par les hommes que par les femmes. Celles-ci contrôlent en particulier la sexualité…
    Sens Critique

  • Songgong sidae (1988) – The Age of Success

    Au premier degré, ce film est imbuvable. Au second degré, il se voit comme une parodie du marketing coréen copié sur les campagnes de promotion des ventes américaines… et curieusement pimenté à la sauce d’Adolf Hitler.
    Cet “âge du succès” a une parenté avec “le parfum du succès” (Sweet Smell of Success).
    Sens Critique

11/12/2023
Serge LEFORT
Citoyen du Monde et rédacteur de Chine en Question

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Commentaires 0-1 Cinéma Corée Sud 1961-1992


Cycle Cinéma Corée Sud 1961-1992

 

Les moins bons films visionnés (0/3 ou 1/3)… susceptibles de plaire à d’autres :
Liens de tous les films, Monde en Question

  • Mabu (1961)

    La mise en scène et le jeu des acteurs contribuent à la bonne morale de cette histoire familiale qui est de ce fait ennuyeuse sur la durée.
    Sens Critique

  • Samdeung gwajang (1961)

    Une comédie sans intérêt.

  • Dosuni (1963

    Le jeu des acteurs gâche cette histoire trop bavarde.

  • Goryeo jang (1963)

    Le jeu des acteurs est très théâtral. Traite plus du thème de la rivalité entre les frères, nés de précédents et du dernier mariage, que de la coutume d’abandonner les vieux dans la montagne.
    Voir : Narayama bushikō (1958), Narayama bushikō (1983) et Ikitai (1999).

  • Geomeun meori (1964)

    Ce polar est fabriqué selon les normes de la mécanique hollywoodienne. Je ne fais pas partie de ce fan-club.

  • Salinma (1965) – A Devilish Murder

    La musique extradiégétique est agaçante. Le jeu des acteurs est trop stéréotypé. Le scénario est sans intérêt car trop invraisemblable.

  • Sampoganeun kil (1975) – La route de Sampo

    La situation est d’emblée artificielle et le film terriblement bavard.
    Sens Critique

  • Yukcheui yaksok (1975) – La promesse de la chair

    Tout est nul : l’histoire, la mise en scène, le jeu des acteurs et la musique extradiégétique.
    Sens Critique

  • Sonagi (1979) – L’averse

    Cette romance écologique entre deux gamins me laisse indifférent.
    Sens Critique

  • Sunyeo (1979) – La femme de l’eau

    Ni la mise en scène ni le jeu des acteurs ne suscitent un quelconque intérêt pour cette d’histoire d’adultère.
    Sens Critique

  • Mandala (1981)

    Une histoire de moine, quelque soit la religion, ne m’intéresse pas.
    Sens Critique

  • Dharmaga tongjoguro kan kkadalgun (1986) – Pourquoi Bodhi-Dharma est-il parti vers l’Orient ?

    Je fais l’impasse de cette histoire de moine.
    Sens Critique

  • Chilsu wa Mansu (1988)

    J’abandonne rapidement car la mise en scène et le jeu des acteurs sont inconsistants.
    Sens Critique

11/12/2023
Serge LEFORT
Citoyen du Monde et rédacteur de Chine en Question

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Commentaires 2-3 Cinéma Corée Nord 1948-1994


Cycle Cinéma Corée Nord 1948-1994

 

Les meilleurs films visionnés (2/3 ou 3/3)… susceptibles de déplaire à d’autres :
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  • Kotpanum chonio (1972) – La fille aux fleurs

    Ce drame privilégie l’image et évite les discours superflus, sauf malheureusement à la fin [2h00] .
    Les directeurs de la photographie, Pak Pyong-su y Ri Hui-son, méritent une mention spéciale.
    La musique extradiégétique est en accord parfait avec les images, ce qui est rare, et complète harmonieusement les parties chantées. Hong Young-hee illumine tout le film dans le rôle de Kotpun.
    Sens Critique

13/11/2023
Serge LEFORT
Citoyen du Monde et rédacteur de Chine en Question

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Commentaires 0-1 Cinéma Corée Nord 1948-1994


Cycle Cinéma Corée Nord 1948-1994

 

Les moins bons films visionnés (0/3 ou 1/3)… susceptibles de plaire à d’autres :
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  • Pulgasari (1985)

    La légende est évoquée ici de manière simpliste pour naturellement parler de la résistance contre l’occupation japonaise. La mise en scène et le jeu des acteurs sont ridicules.
    Sens Critique

13/11/2023
Serge LEFORT
Citoyen du Monde et rédacteur de Chine en Question

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