- 301, 302 (1995)
J’abandonne rapidement car la mise en scène et le jeu des acteurs son inconsistants [11’53].
Sens Critique
- Ag-o (1996) – Crocodile
Les amateurs de films prétentieux apprécieront, mais pas moi. J’ai quand même déniché des sous-titres en français.
Sens Critique
- Daijiga umule pajinnal (1996) – Le jour où le cochon est tombé dans le puits
Ces histoires d’adultère croisés sont laborieusement mises en scène.
Sens Critique
- Ggotip (1996) – A petal
Dés le début je n’ai pas été convaincu et encore moins à la fin par le point de vue adopté. Il reste l’évocation du massacre de Gwangju commis par l’armée coréenne en mai 1980 avec les conseils des services américains.
Sens Critique
• HAN Kang, Celui qui revient, 2016 [Partage en ligne].
• HWANG Kyung Moon, Contentious Kwangju – The May 18 Uprising in Korea’s Past and Present, 2003 [Partage en ligne].
• Lee Jae-Eui, SEOL Kap Su, MAMATAS Nick, Kwangju Diary – Beyond Death, Beyond the Darkness of the Age, 1999 [Partage en ligne].
- Kangwon-do ui him (1996) – Le pouvoir de la province de Kangwon
Je n’arrive pa à m’intéresser à cette histoire d’adolescentes [07’42].
Sens Critique
- Cheob-sok (1996) – The Contact
La mise en scène et le jeu des acteurs sont aussi inconsistants que le scénario.
Sens Critique
- Chorok mulkogi (1997) – Green Fish
Avis de Ciné Monde 12/10/2015 : Oppose la violence des luttes entre gangs à la douceur de la vie familiale (dernière scène).
Avis de Chine en Question 12/07/2022 : J’abandonne après la scène de l’accident provoqué car tout me semble artificiel [41’35].
Sens Critique
- Yasaeng dongmul bohoguyeog (1997) – Wild animal
Kim Ki-duk a réalisé ce film selon selon les normes de la mécanique française, c’est-à-dire terriblement ennuyeuses. J’ai tenu 7’30 avant d’abandonner ce pensum.
Sens Critique
- Choyonghan kajok (1998) – La famille tranquille
La musique extradiégétique de supermarché du générique annonce un mauvais film. J’abandonne cette comédie trop nulle [08’50].
Sens Critique
- Haega seojjogeseo ddeundamyun (1998) – If the Sun Rose in the West
Cette comédie romantique est totalement inconsistante.
Sens Critique
- Jaguimo (1998) – Ghost in Love
Bof ! Il y a certainement des clients pour ce type de film, mais pas moi.
Sens Critique
- Misulgwan yup dongmulwon (1998) – Art Museum by the Zoo
Encore une comédie romantique qui ne vaut rien.
Sens Critique
- Yeogo goedam (1998) – Whispering Corridors
Comme dans la plupart des films d’horreur, le scénario est inconsistant, les images banales et la bande son exagérément dramatique.
Sens Critique
- Calla (1999) – Kara
J’abandonne cette romance sans intérêt après la scène de la fleuriste accompagnée de la chanson française Je m’appelle Hélène [12’05].
Sens Critique
- Gojitmal (1999) – Fantasmes
Avis de Ciné Monde 13/02/2019 : Une relation qui vire au sado-masochisme classique.
Avis de Chine en Question 13/07/2022 : Le discours de présentation m’insupporte et la musique extradiégétique du générique encore plus. Je laisse donc tomber.
Sens Critique
- Haepi-endeu (1999) – Happy End
La scène dans laquelle la femme répète plusieurs fois “baises-moi” (traduit par “fais-moi l’amour”) ne sauve pas ce film inconsistant.
Sens Critique
- Hwaiteu ballenta-in (1999) – White Valentine
La musique extradiégétique de supermarché du générique n’annonce rien de bon. La mise en scène et le jeu des acteurs sont inconsistants.
Sens Critique
- Swiri (1999) – Shiri
Ce film de propagande contre la Corée du Nord est d’emblée détestable.
Sens Critique
- Telmisseomding (1999) – La 6ème victime
Ce thriller, sponsorisé par des institutions, ravira les fans des films d’horreur.
Sens Critique
- Yeogo goedam (1999) – Whispering Corridors
Comme dans la plupart des films d’horreur, le scénario est inconsistant, les images banales et la bande sont exagérément dramatique.
- Bakha satang (2000) – Peppermint Candy
Cette étrange remontée dans le temps, trop larmoyante, n’explique rien…
Sens Critique
- Banchikwang (2000) – The Foul King
La mise en scène et le jeu des acteurs sont aussi nuls que le scénario.
Sens Critique
- Bichunmoo (2000) – Bichunmoo, légende d’un guerrier
Ce film n’échappe aux clichés du genre des arts martiaux. La mise en scène et le jeu des acteurs sont inconsistants.
Sens Critique
- Bimil (2000) – Secret Tears
J’abandonne rapidement car tout est nul [06’28].
Sens Critique
- Cheongchuni (2000) – Plum Blossom
Ce film ne trouve pas le ton qui convient entre romance et érotisme. La mise en scène et le jeu des acteurs sont inconsistants.
- Daehakno-yeseo maechoon-hadaka tomaksalhae danghan yeogosaeng ajik Daehakno-ye Issda (2000) – Teenage Hooker Becomes a Killing Machine
Une daube fabriquée selon les normes des films d’horreur.
- Donggam (2000) – Ditto
Le décalage temporel d’une romance est un thème récurrent du cinéma asiatique avec le magnifique Ugetsu monogatari de Mizoguchi Kenji. Cette version coréenne ne tient pas la route et je l’abandonne rapidement [10’27].
Sens Critique
- Flandersui gae (2000) – Bouvier des Flandres
Le scénario me laisse indifférent et plus encore la mise en scène et le jeu des acteurs.
Sens Critique
- Gongdong gyeongbi guyeok JSA (2000) – JSA Joint Security Area
Ce thriller se voit, mais sans plus.
Sens Critique
- Jakarta (2000)
La mise en scène et le jeu des acteurs plombent rapidement ce thriller [11’28].
Sens Critique
- Libera me (2000)
Je ne suis pas amateur des films catastrophes.
Sens Critique
- Mi in (2000) – La belle
Elle dit : “Il n’y a rien d’intéressant” [17’04] et je confirme.
Sens Critique
- Oh! Soo-jung (2000) – La vierge mise à nu par ses prétendants
Ce film bavard ne va nulle part.
Sens Critique
- Seom (2000) – L’īle
Cette romance est terriblement ennuyeuse.
Sens Critique
- Siworae (2000) – Il Mare
Ni la mise en scène ni le jeu des acteurs ne sont pas à la hauteur du scénario (une histoire entre passé et présent, entre morts et vivants.).
Sens Critique
- Sunaebo (2000) – Asako in Ruby Shoes
Cette romance virtuelle est pire que nulle.
- Areumdawoon naldeul (2001) – Beautiful Days (24 épisodes)
Une daube fabriquée selon les normes de la mécanique coréenne des séries.
Sens Critique
- Beonjijeompeureul hada (2001) – Bungee Jumping of Their Own
Une histoire qui tourne en rond, mal mise en scène et mal jouée.
- Besame mucho (2001) – Kiss Me Much
Cette comédie familiale est inconsistante.
Sens Critique
- Chingoo (2001) – Friend
Ce film sur la mafia coréenne ne m’intéresse pas.
Sens Critique
- Failan (2001)
J’abandonne cette daube fabriquée selon les normes de la mécanique coréenne [18’40].
Le basculement de l’histoire, annoncé par un rapide retour au noir et blanc du générique, ne fonctionne pas [37’00]. Comme Choi Min-sik continue son numéro de petit truand, ses larmes, après la lecture de la lettre, sont plus ridicules que crédibles [1h41].
Cette adaptation n’a rien a voir avec la nouvelle autrement plus sensible et poétique.
Sens Critique
• ASADA Jirō, La lettre d’amour, 1998 [Partage en ligne].
- Ggot seom (2001) – Flower Island
J’abandonne après la scène glauque de la femme qui avorte dans les chiottes [08’03].
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- Go-yang-i-rul boo-tak-hae (2001) – Take Care of My Cat
L’histoire est assez décousue et la mise en scène inconsistante.
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- Igeoshi beobida (2001) – This Is Law
Ce film de violence gratuite est rapidement insupportable [07’45].
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- Killerdeului suda (2001) – Guns and Talks
Ces tueurs bavards me déplaisent d’emblée.
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- Nabbeun namja (2001) – Bad Guy
La musique extradiégétique de supermarché plombe d’emblée cette histoire qui ne tient pas la route une seconde.
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- Musa (2001) – La princesse du désert
Ce film enchaîne les scènes de combat sans intrigue… jusqu’à l’écœurement. Tous les protagonistes meurent sauf le sergent et la princesse. ZHANG Ziyi fait de la figuration dans ce rôle.
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- Saulabi (2001)
Ce film accumule tous les clichés des films d’arts martiaux.
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- Suchwiin bulmyeong (2001) – Adresse inconnue
J’abandonne rapidement ce film qui se complaît dans la violence gratuite [08’35].
Sens Critique
- Wanee wa Junah (2001) – Wanee and Junah
Le jeu de Ju Jin-Mo plombe d’emblée ce film inconsistant.
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- Yeopgijeogin geunyeo (2001) – My Sassy Girl
J’abandonne très rapidement ce film car les acteurs surjouent et la mise en scène est inconsistante [06’45].
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Commentaires 2-3 Cinéma Corée Sud 1993-2001
Cycle Cinéma Corée Sud 1993-2001
Les meilleurs films visionnés (2/3 ou 3/3)… susceptibles de déplaire à d’autres :
Liens de tous les films, Monde en Question
J’avoue ne rien connaître et avoir donc du mal à apprécier cet art coréen du récit chanté. Le film a contribué à la renaissance de cet art qui avait disparu pendant l’occupation japonaise (1905-1945) et la domination de la culture américaine (1945-2001). J’ai particulièrement aimé la scène dans la campagne qui résume tout [44’04-49’14].
Sens Critique
• Les chants épiques Pansori, UNESCO.
• La nature générale du pansori, Poésie.
• KIM Shin-Dong, The Creation of Pansori Cinema Sopyonje and Chunhyangdyun in Creative Hybridity in YAU Shuk-ting Kinnia, East Asian Cinema and Cultural Heritage – From China, Hong Kong, Taiwan to Japan and South Korea, 2011 [Partage en ligne].
• Corridos Viejitos, Ramon Ayala, Cadetes, Cachorros, Los terribles del norte y muchos mas.
• Corridos de la Revolución mexicana, Los cadetes de Linares.
HUR Jin-Ho filme avec intelligence, mais sans prétention, le quotidien d’un photographe qui sait qu’il va mourir et s’attache à une jeune contractuelle. Les trente dernières minutes sont particulièrement intéressantes sur la manière de raconter une histoire avec des images (le propre du cinéma), qui laissent l’interprétation ouverte, et non par un discours (le propre du théâtre et du cinéma français).
Sens Critique
J’ai voulu abandonné ce film après la rencontre artificielle des deux femmes [02’00] et la scène de baise [09’44]. Mais la photographie de Jeong-min Seo m’a incité à visionner cette histoire sur le thème de “la vierge et la putain” qui vaut le détour.
La masturbation et la relation homosexuelle sont suggérées.
Sens Critique
Le plus intéressant n’est pas l’échec de la double romance, mais la vie quotidienne de l’école et du village.
Sens Critique
Hommage à Connie Francis et notamment Don’t Break The Heart That Loves You de l’album My greatest songs.
Le chant de la fidèle Chunhyang constitue la synthèse de deux arts : celui du cinéma typiquement occidental et celui du Pansori, mode de narration orale et musicale, typiquement coréen.
Sens Critique
Une histoire simple racontée avec beaucoup de délicatesse et accompagnée par une superbe musique de jazz.
Sens Critique
15/01/2024
Serge LEFORT
Citoyen du Monde et rédacteur de Chine en Question
Lire aussi :
• Dossier documentaire Cinéma Corée (avec liens partagés), Monde en Question.
• Films, Ciné Monde – Chine en Question – Monde en Question.
• Livres cinéma, Ciné Monde – Chine en Question – Monde en Question.
• Index Cinéma, Monde en Question.
• Dossiers Cinéma, Monde en Question.
• Veille informationnelle Cinéma, Monde en Question.
• Revue de presse, Monde en Question.